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Remplacement avec possibilité de long terme
Les conséquences économiques de la crise devraient se faire sentir principalement en 2021
Le nombre de demandeurs d’emploi reste stable dans l’arrondissement de Huy-Waremme, comme dans la Province de Liège. Mais toutes les communes ne sont pas logées à la même enseigne...
On ne compte malheureusement plus les victimes économiques du coronavirus. Chaque semaine, voire chaque jour, nous apprenons de nouvelles faillites d’indépendants qui « n’en peuvent plus » et décident de mettre la clé sous le paillasson par accumulation de créances ou par absence de perspective de reprise. Cependant, à la lecture des dernières données du Forem, l’impact du coronavirus sur l’emploi de notre région semble pour l’instant limité, même si « ce n’est qu’une question de temps » nous dit-on. Entre octobre 2019 et octobre 2020, l’arrondissement de Huy-Waremme a même connu une légère baisse du nombre de « demandeurs d’emploi inoccupés », passant de 9.369 demandeurs à 9.329. Une faible diminution qui se constate également au niveau provincial (de 65.461 en octobre 2019 à 65.353 le mois dernier).
LES BURDINNOIS ET TINLOTOIS TROUVENT DE L’EMPLOI
Si le nombre de demandeurs d’emploi global reste stable au niveau de l’arrondissement, la situation peut varier fortement entre les différentes communes. Certaines entités connaissent une véritable baisse du nombre de sans-emploi, comme Burdinne (-14%) ou Tinlot (-14% également). « Burdinne est moins touchée par la crise. C’est une très bonne nouvelle. Peut- être est-ce dû à la croissance de la commune et à l’arrivée de jeunes couples, qui travaillent souvent dans les grandes villes et ont une situation privilégiée », s’interroge le bourgmestre Frédéric Bertrand (MR).
Les grands centres de l’arrondissement connaissent quant à eux une certaine stagnation de la demande d’emploi, qui épouse d’ailleurs la tendance provinciale : Amay (-2% de demandeurs d’emploi), Huy (+1%), Waremme (-2%) et Wanze (-2%).
Après avoir travaillé 18 ans dans le monde hospitalier, il y a 6 ans Stéphanie Gustine a tout lâché pour lancer La Petite Boutique de Nandrin, au numéro 3 de la rue du Presbytère, juste derrière l'Église Saint-Martin. L’objectif est d'y proposer un large choix d’articles issus de petits créateurs et éthiques. « Mon idée est de proposer des articles pour valoriser l’artisanat local mais aussi les personnes qui créent tout en prenant soin d’utiliser des matières naturelles ou issus de la récup’ pour prendre soin de l’environnement », souligne la commerçante. « Je tâche également de favoriser les créateurs sensibles à la cause humanitaire, comme Sosol and Sea qui travaille avec une coopérative qui soutient les mères célibataires en Tunisie ».
Ainsi, au sein de la boutique les clients retrouvent du prêt-à-porter éthique sur commande et fabriqué en Europe en fibre de coton ou de bambou du 34 au 54, des bijoux faits mains par de petits créateurs belges, des accessoires divers comme des sacs en chutes de cuir, des bougies 100% naturelles, des cosmétiques mais aussi une gamme enfant et de la décoration artisanale. En bref, La Petite Boutique est une véritable caverne d’Ali Baba. « Chez moi on trouve de tout, pour tous les goûts et tous les budgets ».
« J’ai peur pour l’avenir »
Malgré son large assortiment, le coronavirus n’a pas épargné la boutique de Stéphanie. Chaque jour depuis mars, elle se bat pour conserver son magasin malgré les charges, les fermetures et les clients absents. « C’est une période vraiment difficile et j’ai peur pour l’avenir, surtout avec les fêtes qui arrivent. Je peux compter sur mes clientes fidèles pour me soutenir et mes conseils personnalisés peuvent être un atout alors je me bats pour garder la tête hors de l’eau », confie la Nandrinoise.
De ce fait, si vous désirez soutenir La Petite Boutique pour vos achats de fêtes durant cette période, sachez que Stéphanie prend les commandes via sa page Facebook, « La Petite Boutique de Nandrin », ou par téléphone au 0494/94.34.88. Retraits possibles en magasin sur rendez-vous.
Laura Marchese. La Meuse H-W
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Le Home de Seny est une maison de repos et maison de repos et de soins
qui dépend du CHU de Liège
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Annonce recrutement.doc
Le Home de Seny (Maison de repos et de soins) recrute 1 infirmier (H/F) à temps plein (38h/sem.).
Intéressé(e) ? Posez votre candidature pour le 15 septembre 2020 au plus tard.
Modalités pour postuler sur www.chuliege.be/EMPLOIS
C'est une réalité depuis longtemps déjà mais plus encore aujourd'hui. On manque cruellement d'infirmiers. Entre le rallongement des études et la crise sanitaire, le secteur s'attend à devoir batailler pour trouver du personnel. Chaque année, la période estivale est signe de pénurie, elle est encore plus aigüe cet été.
Les derniers chiffres relatifs aux inscriptions et à la remise de diplômes au terme des études d'infirmières ne laissent planer aucun doute : la pénurie connaît au mieux un statu quo pour l'instant, au pire elle s'aggrave.
La Fédération des étudiants francophones (FEF) note ainsi une diminution des inscriptions liée à la réforme du cursus, passé de trois à quatre ans en 2016 : "L'allongement des études en soins infirmiers a fait baisser les inscriptions de 10 %". La réforme imposait une année supplémentaire pour un salaire égal à la sortie.
Selon l'Ares (Académie de recherche et d'enseignement supérieur), 2.757 inscriptions pour le bachelier en soins infirmiers ont été enregistrées pour l'année académique 2018-2019, contre 3.448 en 2015, soit 20 % en moins. Le nombre d'étudiants de première année est lui aussi en baisse (2.136 en 2019, contre 2.805 en 2015).
Quant à la prochaine année académique, celle qui débutera en septembre, l'incertitude demeure. Les écoles notent pour l'instant au moins une baisse de 50% des inscriptions, rapporte l'Association belge des praticiens de l'art infirmier (ACN). "Il faudra attendre octobre pour avoir les chiffres exacts car il y a les secondes sessions et les inscriptions tardives", tempère Cécile Dury, directrice de la catégorie paramédicale de la Henallux (Haute Ecole de Namur-Liège-Luxembourg).
Olivier Gendebien, le président de l'Association belge des praticiens de l'art infirmer (ACN) table sur environ 2.200 diplômés en Fédération Wallonie-Bruxelles, dont 800 se lanceront sur le marché de l'emploi. Un nombre "relativement correct" selon lui, mais toutefois insuffisant face aux besoins réels: "Il y a 5.000 postes d'infirmières et d'infirmiers à pourvoir en Belgique", indique-t-il.
Source : Belga
Un conseil d’entreprise s’est déroulé ce jeudi matin chez ArcelorMittal à Marchin. Au terme de ce conseil, la direction a annoncé que 32 emplois allaient être supprimés sur le site marchinois pour un total de 50.
Une nouvelle très mal accueillie par les travailleurs. « On nous a annoncé cette restructuration alors que la situation actuelle est déjà très difficile. Il parle de la restructuration pour le 1er janvier 2021. Trente personnes excédentaires devront être replacées vers d’autres sites liégeois », indique David Camerini, président de la délégation syndicale CSC ArcelorMittal Liège.
Les travailleurs abattus
L’activité sur le site marchinois sera évidemment réduite. Cette décision a provoqué l’indignation de nombreux travailleurs.
« Plus de trente emplois passent à la trappe. Même si la direction s’est engagée à les reclasser, c’est quand même une douche froide. C’est difficile à digérer ! Les travailleurs sont abattus par cette nouvelle. On va passer de 15 pauses semaine à 6 », continue le président syndical.
« La direction va devoir signer ses engagements; pas uniquement pour les personnes qui sont en CDI mais également pour les contrats temporaires. Nous allons négocier car il faut accompagner chaque travailleur à un poste structurel et pérenne, c’est ce qui fera aussi l’objet de la négociation. Même si ce ne sont pas des licenciements, c’est une restructuration et il y en a déjà eu plusieurs. La plus importante date de 2004 où toutes les lignes d’ArcelorMittal à Marchin ont quasi toutes été fermées ainsi. Si on en est là aujourd’hui, hormis la crise, c’est parce qu’on n’a jamais rien fait pour défendre le site marchinois. Il va falloir trouver des solutions », s’indigne David Camerini qui rappelle que le site marchinois ne date pas d’hier mais de 1896.
Recrutement d'un(e) employé(e) d'administration au service urbanisme pour la commune de Tinlot à mi-Temps H/F
Savoirs :
Savoir-Faire :
Savoir-Être :
Missions :
Contrat :
Conditions de recrutement :
Le dossier de candidature doit être envoyé à : Madame la Bourgmestre de Tinlot, 19 rue du Centre à 4557 Tinlot avant le 29 mai 2020
Si vous souhaitez obtenir de plus amples informations sur le poste proposé, n'hésitez pas à contacter M. Joachim REBIA, Directeur général f. f., par mail à l'adresse: joachim.rebia@tinlot.be